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 Une matinée comme on n'en voudrait pas deux [Saphyr]

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Elleonor L. Raven
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Elleonor L. Raven


— année scolaire : Troisième année à Gryffondor

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MessageSujet: Une matinée comme on n'en voudrait pas deux [Saphyr]   Une matinée comme on n'en voudrait pas deux [Saphyr] EmptyDim 29 Mar - 20:17

La journée ne faisait que commencer, et pourtant les choses n'allaient pas telles qu'Elleonor l'aurait souhaité. Elle fut réveillée ce matin de septembre par l'une de ses camarades de maison, lui annonçant qu'un hibou avait déposé une lettre pour elle, dans la Salle Commune. C'était étrange, d'habitude, les hiboux apportaient la lettre au destinataire, en main propre, et ne se contentait pas de la déposer n'importe où. Elly fronça les sourcils. Elle remercia la jeune femme, en bougonnant, puis fourra sa tête sous son oreiller. Il était sept heures et trente minutes, elle avait encore une demi heure de sommeil avant d'être forcée de se lever. Lors des journées de cours, la Gryffondor se levait toujours une demi-heure avant le début de ses cours, étant insomniaque elle était obligée de se lever tard pour tenir toute la journée. Un quart d'heure plus tard, la même jeune femme que quelques minutes auparavant arriva en trombe dans le dortoir, sortant une nouvelle fois la blondinette de son sommeil. Elleonor se redressa sur son matelas, bougonnant, pestant même après l'intéressée. Celle-ci avait été chargée par Jordan de l'informer qu'il fallait qu'elle le rejoigne au plus vite, elle saurait où. Elle saurait où, elle saurait où, il est bien gentil le petit blondinet, mais sa soeur n'en savait rien. C'est de mauvaise humeur que la jeune femme quitta son lit, enfilant chaussons et robe de chambre, et descendit dans la Salle Commune, déserte à cette heure-ci. Son petit frère l'attendait, affichant un sourire satisfait. Elle le fusilla du regard. Non seulement il l'avait privée de quinze minutes de sommeil, mais en plus il la narguait. Il lui annonça juste qu'il y avait une réunion de famille de prévue le soir-même, dans la Salle sur Demande. Elleonor secoua la tête. Il était impossible de se retrouver tous dans la même pièce, qui serait, en l'occurrence, la maison des Raven. Du moins, elle n'avait jamais fait ça. Elle ne voyait pas très bien où était l'urgence, mais elle n'était peut être pas au courant de tout. Son frère lui proposa de l'attendre pour aller prendre son petit déjeuner, à condition qu'elle se préparait rapidement. Ben tiens, il avait beaucoup d'espoir le gamin. Elle déclina son invitation, elle devrait passer à la volière avant de déjeuner et de se rendre en cours, elle n'avait pas besoin de lui.

C'est là qu'ils se quittèrent, le blondinet quittant la Salle Commune pour se rendre à la Grande Salle, Elleonor remontant dans son dortoir pour se recoucher s'habiller. Il faisait bon à Poudlard, le soleil était encore radieux pour une mi-septembre. Elle enfila son uniforme, sa cravate, sa cape et descendit les escaliers. Elle avait pris ses affaires de classe directement, elle n'aurait pas le temps de passer les chercher après son détour par la volière. Il lui fallait joindre ses parents, savoir de quoi il en retournait, trop impatiente d'attendre l'heure à laquelle était prévue la réunion. Si ça se trouve, ce n'était qu'un canular, une blague débile et puérile, montée par Jordan lui même. Il en était bien capable tiens, rien que pour faire enrager celle qui l'appelait mon chaton. Dans les couloirs, Elleonor courrait presque. Elle voulait avoir le temps de poster sa lettre, tiens d'ailleurs, en parlant de lettre, elle n'avait pas lu celle qui lui était destinée, restée sur la table de la Salle Commune. Fichtre, elle n'avait pas le temps de remonter. Tant pis, elle trouverait bien un moment pour aller la chercher plus tard. Une fois arrivée à la volière, elle écrivit brièvement sa lettre, en vitesse, en mettant des abrégeant les mots, ça et là. Elle n'avait pas le temps de soigner son écriture, ni même sa présentation, sa mère rouspèterait, mais tant pis. Une fois le courrier écrit, elle l'attacha à la patte du premier hibou qu'elle vit, lui donna du Miamhibou, lui indiqua les destinataires de sa lettre, et regarda l'oiseau partir en direction de l'Irlande du Nord où ses parents résidaient.

Une fois l'oiseau partit, elle s'apprêtait à redescendre. Elle se tourna en direction de la porte, et reconnu Saphyr, juste derrière elle. Elle sursauta, elle fit un bond comme elle n'en avait jamais fait.


- Qu'est ce que tu fais là ? Comment as-tu fait pour ne pas faire le moindre bruit ?

Elle avait employé un ton agressif, après tout elle avait été vraiment surprise de voir son amie, là, plantée devant elle alors qu'elle n'avait pas entendu le grincement des marches, ni même celui de la porte.
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Saphyr Lorelya Rehylde
    angelic admin ;
    you should never underestimate a girl. not even me.

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— année scolaire : fourth grade .
— mood : irrévocablement amoureuse, malgré le temps et l'espace .

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MessageSujet: Re: Une matinée comme on n'en voudrait pas deux [Saphyr]   Une matinée comme on n'en voudrait pas deux [Saphyr] EmptyLun 30 Mar - 22:40

étrange... Tout me semblait particulièrement étrange depuis cette arrivée à Poudlard. Tout d'abord, je ne m'attendais pas à faire des rencontres, toutes aussi étonnantes les unes que les autres. Et puis, tout avait changé, hormis les locaux en eux même. Je n'y trouvais même pas ma place, alors que j'étais ici il y a trente ans... Je ne comprenais vraiment à rien à toute cette histoire. En plus, je venais de me réveiller, et mon cerveau était quelque peu embrumé. Je ne m'étais décidément pas habituée à toutes ces voix qui résonnaient dans mon esprit. J'avais, alors, très très mal dormi. Mais penser à mon époux qui était tendrement blotti dans son lit m'avait apaisée, et m'avait permis de m'endormir, malgré toutes ces résonances. Assise sur le bord de mon lit, je me mis à réfléchir. Brièvement, mais tout de même. Le répit était de courte durée pour quelqu'un de mon apparat. « Non mais sérieusement, quelle débauche, je te jure Dolce. » Ahah. Quel bonheur, sérieusement, d'entendre les conversations et paroles des autres anges, même quand cela n'est pas intéressant. Quoique... « Et alors, qu'est-ce que ca peut faire ? Ce ne sont pas nos affaires. Alors, arrête de les dévisager comme cela. Ils font ce qu'ils veulent, ce sont leurs problèmes, pas les nôtres. Nous sommes là pour les vampires, non pour les sorciers, je te rappelle. » La Serdaigle venait de répliquer en douceur mais tout de même avec tact à son ami. Et toc, bien fait. Et cela n'était pas terminé, loin de là, lorsque je me décidai à aller prendre ma douche avant de descendre prendre mon petit déjeuner, comme les autres élèves "normaux". Une fois la douche prise, je m'observais dans le miroir de la salle de bain des dortoirs de Gryffondor : un visage ovale sans aucun défaut, des yeux ayant la forme d'amandes, malgré les diamants qui brillaient dans les orifices... Je m'habillais précautionneusement, étant décidée à paraître la plus normale possible : l'uniforme de Poudlard semblait être la meilleure option. Sans l'ombre d'un bruit, je me glissai dans la salle commune, et je ne vis personne, si ce n'est une lettre posée sur la table au milieu de la grande pièce aux couleurs de la maison. « Elleonor L. Raven, Salle Commune de Gryffondor » Ma camarade avait-t-elle volontairement laissé cette lettre ici, ou bien ne savait-elle pas qu'il y avait du courrier qui l'attendait ? Discrètement, je glissai cette enveloppe d'un blanc immaculé dans la poche de ma cape, en compagnie de ma baguette magique, et je sortis de la Salle Commune, sans un bruit, comme à mon habitude.

le soleil daignait silencieusement de pointer le bout de son nez, lorsque je descendais les escaliers de pierre pour se rendre dans la Grande Salle. Cette dernière était déjà bondée, ce qui n’améliora pas mon humeur. En moins d’une seconde je repérai Shakespeare, installé à la table opposée à celle des Gryffondor. Je lui offris un mince sourire, dévoilant mes dents parfaites. Mes pas prirent contact avec le sol de la vaste pièce, les regards se tournent vers moi, ma splendeur étant digne d‘une divinité. Mon uniforme noir était impeccable, tout comme ma cravate rouge et or et ma chemise blanche. Ma peau sans défaut mettait en valeur ses yeux dont la teinte ressemblait à des diamants, qui eux soulignaient une mèche de cheveux châtain qui se baladait devant mon front. Pour ne pas éveiller les soupçons, je décidait d'adopter une moue distraite en avalant un maigre petit-déjeuner certes, mais un petit-déjeuner quand même. Depuis que j'étais revenue sur cette Terre en ébullition, la vie humaine faisait pâle figure face à la vie qui nous avait été offerte dans l'au-delà. Notre propre Directeur, le Dieu de l'Olympe, faisait tout pour que ses protégés soient au maximum de leur confort, ce qui était totalement le contraire du Directeur de Poudlard. Tant de différence entre eux, et pourtant ... Et pourtant, j'étais ici pour une seule et même raison, obéir au "maître". Je n'avais pas vraiment eu le choix mais bon, j'étais tout de même ici, et je devais faire avec.

une fois le petit déjeuner pris et avalé, je me levai sans un bruit, dans une discrétion absolue, et me faufilai en dehors de la Grande Salle. Elleonor, ma camarde de maison se trouvait à la volière, d'après les pensées de Amber. Elle avait apparemment discuté avec le frère de la Gryffondor, à qui elle avait dit qu'elle devait aller à la Volière. Étant décidée à lui rendre ce qui lui appartenait - il faut rendre à césar qui est à césar; je filai vers la volière. Une fois à la porte, à travers les planches de bois mal entretenu, j'entrevis ma camarade donner une lettre à l'un des Hiboux. Je vis ses livres de classe, et me rendis compte que je n'avais pas les miens. Quelle idiote ! « Oui tu as raison Saphyr, tu es une idiote » « Oh toi, la ferme ! » pensais-je fermement. Quel horreur finalement de pouvoir être entendu par notre propre espèce à n'importe quel moment de la journée. C'était sérieusement un manque d'intimité.

une fois le hibou envolé, la lettre accrochée à sa patte, je poussai la porte sans un bruit, bien évidemment, et la refermai doucement. Mon amie se retourna vivement vers moi, et parut particulièrement surprise de me trouver en ces lieux, alors que la volière n'appartenait à quiconque.
    ELLEONOR ; QU'EST CE QUE TU FAIS LA ? COMMENT AS-TU FAIT POUR NE PAS FAIRE LE MOINDRE BRUIT ?
la colère et l'agressivité se ressentaient dans sa voix. Pas le moindre tremblement, alors que j'aurais pu lui faire peur, puisque je n'avais octroyé aucun bruit en m'approchant d'elle. Un sourire se dessina sur mon visage sans défaut et sur mes lèvres pulpeuses, d'une couleur rose brillant, couleur qui avait été ajoutée avec un gloss spécifique. Il fallait tout de même que je ressemble à un étudiant normal, non ?
    SAPHYR ; J’IMAGINE QUE C’EST MA LÉGENDAIRE DISCRÉTION QUI T’A PRISE AU DÉPOURVU, ELLEONOR.
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Elleonor L. Raven
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MessageSujet: Re: Une matinée comme on n'en voudrait pas deux [Saphyr]   Une matinée comme on n'en voudrait pas deux [Saphyr] EmptySam 2 Mai - 22:24

La blondinette continuait de dévisager Saphyr comme s'il s'agissait d'une bête sauvage prête à lui bondir dessus. Elleonor ne s'était jamais montrée aussi agressive, aussi sauvage et aussi hargneuse envers Saphyr, ni même envers personne d'autre d'ailleurs. Ce n'était pas dans sa nature, elle qui était si tendre, si douce, si gentille... Pour ça, on ne pouvait pas reprocher à la jeune femme d'être bruyante ou désagréable, bien qu'elle soit légèrement bavarde et que son rire soit cristallin, elle était d'une compagnie plutôt agréable. Du moins, c'est ce qu'on lui disait. Si tel n'était pas le cas, elle ne pouvait malheureusement rien faire contre l'hypocrisie des gens. Elle était encore sur la défensive, quelques secondes après que Saphyr lui ait répondu. La jeune femme qui était elle aussi de Gryffondor avait employé un ton calme et reposant, apaisant l'esprit de sa camarade. Il arrivait pourtant rarement à Ely de se montrer nerveuse voir même anxieuse, mais elle était incapable de décrire l'état dans lequel elle se trouvait à présent. Elle était à la fois tendue et méfiante, prête à se défendre en cas d'attaque, alors qu'elle savait pertinemment que Saphyr ne lui ferait aucun mal.

Elleonor se détendit un peu, tout en restant attentive au moindre bruit qui se ferait entendre dans la volière. Pourquoi donc se comportait-elle ainsi ? Elle était ridicule et en avait conscience. Elle avait toujours trouvé Saphyr un peu bizarre, tout comme d'autres élèves de l'école, sans pour autant savoir ce qu'elle leur trouvait d'extraordinaire. D'ailleurs, cette incompréhension avait le don d'agacer la blondinette au plus haut point, elle qui ne supportait pas de ne pas comprendre quelque chose. Il y avait certains détails de l'attitude de Saphyr qui la travaillait, comme par exemple sa discrétion. Personne ne pouvait être discret au point de ne faire aucun bruit, de résister au grincement des marches, comme si elle avait été aussi légère qu'une plume. La jeune femme n'était pas grosse certes, loin de là même, mais l'escalier de la volière grinçait lorsqu'un chaton l'empruntait. Ely s'en voulut de son comportement envers sa camarade, qui n'avait d'ailleurs rien fait de mal, la pauvre. Pour détendre l'atmosphère, Elleonor adressa à Saphyr un sourire gracieux et amical.


- Oui, ça doit être ça. Excuse moi, Saphyr.

Elle reposa son attention sur l'extérieur de la volière, à travers le trou dans le mur servant de fenêtre, permettant aux oiseaux de s'envoler à leur guise. Il n'y avait plus la moindre trace de l'oiseau auquel elle avait confié la responsabilité de sa lettre. Elle reporta alors son attention sur sa camarade.


- Toi aussi tu as du courrier à envoyer ?
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MessageSujet: Re: Une matinée comme on n'en voudrait pas deux [Saphyr]   Une matinée comme on n'en voudrait pas deux [Saphyr] EmptyMer 6 Mai - 0:56

    « J'imagine que c'est ma légendaire discrétion qui t'a prise au dépourvu, Elleonor. »
Le vent pénétrait lentement dans la volière, et me donna un léger frisson. D'ordinaire, je n'étais pas frileuse, mais là, dans la tour de la volière, volière qui surplombait le Lac Noir, en plus du vent, il ne faisait pas si chaud que cela pour un mois de Septembre, enfin, fin Septembre disons.
    « Oui, ça doit être ça. Excuse moi, Saphyr. »
J'observais mon amie regarder au loin, à travers le trou qui servait de fenêtre. Tiens, ca ne m'étonne pas qu'il fasse aussi froid ici, dans la Volière. Aucune fenêtre pour protéger du vent les lieux. Je me demande quel est l'état des hiboux en plein mois de décembre. J'imagine qu'ils ne sont pas statufiés, mais ils ne doivent pas avoir bien chaud. En cas, j'imagine qu'ils doivent sortir non pas prendre l'air, mais certainement se dégourdir les ailes tout du moins. Avec du recul, ce doit être pour cela qu'on a jamais retrouvé de hibou statufié. Je serais curieuse de voir à quoi cela ressemblerait, et auquel cas, quel impact cela aurait ses les élèves de Poudlard. Enfin, l'heure n'étais pas aux plans machiavéliques non plus, il ne faut pas abuser quand même.
    « Toi aussi tu as du courrier à envoyer ? »
Du courrier ? A qui j'en enverrais ? A mon frère, qui devait avoir soixante ans et qui devait être dans son jardin, à regarder ses petits enfants gambader ? Ou à mon père, qui lui doit être en train de se retourner dans sa tombe. Ces deux personnes étaient les seules en dehors de Poudlard à qui je pourrais écrire .. Si vraiment j'en avais envie, ce qui n'était vraiment pas le cas. La dernière personne à qui je pourrais écrire était ma fille... Oui, à vingt ans j'avais une fille, mais mon tendre époux n'en savait guère rien. A l'aide d'un sortilège j'avais réussi à le lui cacher, et j'avais laissé ma fille à l'accouchement à un couple qui ne pouvait, eux, avoir d'enfants. Je m'en voulais de ne jamais l'avoir dit à Shakespeare, mais je savais à quel point l'annonce de cette nouvelle le ferait souffrir, d'autant plus que nous étions morts. Notre fille était quelque part sur cette Terre, sans que nous sachions où exactement.
    « En quelques sortes disons. Un courrier à délivrer, mais pas par voie hibou-postale. Et toi ? Je viens de voir le hibou s'envoler. »
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Elleonor L. Raven
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MessageSujet: Re: Une matinée comme on n'en voudrait pas deux [Saphyr]   Une matinée comme on n'en voudrait pas deux [Saphyr] EmptyMer 13 Mai - 16:40

Que faisais Saphyr dans la volière si elle n'avait pas de courrier à envoyer par voie hibou-postale ? Elleonor fronça les sourcils, elle était perplexe quant à l'attitude de son amie mais n'en dit rien pour autant. Le comportement de sa camarade de Gryffondor était vraiment suspect, Elleonor ne savait vraiment plus quoi en penser. Etait-ce elle qui se faisait des idées ou bien Saphyr qui n'était pas dans son assiette ? A vrai dire, elle n'en savait rien et ne voulait pas se poser ce genre de question qui risquerait de l'agacer. Après tout, chaque personne avait de temps en temps une baisse de régime, une période où elle se comportait de manière étrange, sans pour autant que les autres s'en rendent compte. On ne pouvait pas qualifier cela de troubles du comportements, loin de là même, il ne fallait pas exagérer, mais la blondinette s'était toujours interrogée sur ce genre de phénomènes.


- Que fais-tu ici si tu n'as pas de courrier à envoyer par hibou ?

Elle fut prise d'un frisson. Elle était pourtant couverte, étant donné qu'elle portait son uniforme aux couleurs de sa maison, mais la température de la volière n'était agréable qu'en plein été, c'est ce que vous diraient la plupart des élèves frileux dont Elleonor faisait partie. Depuis toute petite, Ely avait été du genre à avoir froid presque tout le temps, grelottant même en hiver. D'ailleurs, elle détestait cette saison. Il lui arrivait d'avoir froid jusqu'à ne plus pouvoir respirer, jusqu'à en avoir les mains qui vous brûlent. Parfois même en été, elle devait se couvrir lors d'un coup de vent, car ses bras étaient couverts de ce que l'on appelle communément la chair de poule.


- Je viens tout juste d'envoyer une lettre à mes parents au sujet d'une réunion de famille, ou je ne sais trop quoi.

Saphyr la prendrait très certainement pour une folle, elle prétendait écrire à ses parents mais était incapable de réciter les quelques mots qu'elle venait de leur envoyer Mais peut être que la jeune femme ne remarquerait pas l'incertitude de son amie, et ce serait tant mieux, Elleonor n'avait pas vraiment envie de se justifier à ce sujet. Elle repensa alors à l'annonce qui lui avait été faite quelques minutes plus tard dans la Salle Commune des Gryffondor. Elle ne comprenait pas pourquoi ses parentsne lui en avaient pas parlé directement, ils avaient préféré passer par un intermédiaire, ce qui ne leur ressemblait pas du tout.
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