Don't mess with the little angel (Shania Cavanaught)

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DEHOOOOOORRRSSSSSS!!!!!!!!!!

Encore un autre cour de potion complètement raté, encore une matiné passée avec une gorge complètement assoifée; je n'avais rien bu depuis un minimum de 3 semaines, les couvres-feux trop sévères m'empêchaient de partir traquer...Et je me permets de rajouter que la viande animale que nous offrait l'école était tout à fait ridicule : de simple petits lièvres, renards et "parfois" des cerfs. Me retenir devenait de plus en plus insupportable à chaque pas que j'effectuais. Par chance, aucunes de ces personnes n'avaient une odeur trop attirante. Cela faisait maintenant 2 mois et quelques poussières que j'étais rentré à Hogward, il m'avait placé dans la 3e année croyant qu'avec mon âge, j'aurais une certaine expérience mais la vérité leur tomba en pleine face : je n'étais doué pour absolument rien... À peine si j'étais apte à tenir une baguette dans mes doigts. C'en était pitoyable à un certain point.

Je venais de faire enflammer le lab de 3e année, après avoir tenté de créer une potion régénératrice; disons qu'elle fut plutôt dévastatrice. Bien entendu, après ce "malheureux" incident mon professeur me fit sortir du cour, en pleine furie, je partis sans rien dire en serrant les dents comme à l'habitude. Me faire expluser d'un cour arrivait trop que souvent, c'était devenu une habitude. Je ne comprenais pas pourquoi on ne me rétrogradait pas en 2e, ou encore, en 1er. Déjà à ce stade, je pourrais apprendre davantage, au lieu de ça, je détruisais mes classes et je ma puissance n'évoluait pas. J'étais très frustré de l'ignorance du directeur, je ne pourrais jamais devenir assez fort pour notre race s'il ne faisait rien pour moi; je tentai d'en parler à mes profeseurs, mais à leurs yeux, les vampires sont encore des sous-sorciers. J'ai pus facilement constater cet énorme détail, à quelques exceptions prets, les professeurs dénigraient et discriminaient les élèves de ma race, ils se foutaient complètement de nous. Comme pour mon cas, ils nous laissaient pourir dans ce qu'on pourrait appeler la déchéance complète. Toutefois, la situation est complètement différente pour ces chers anges si "merveilleux" si "beaux" et sii.... Rohh, c'était tellement déprimant de constater à quel point ces derniers étaient chouchoutées, ce qui m'ammena à les détester encore plus que les humains. Ils me répugnait, et nous les répugnions; une certaine tension et haine existaient entre plusieurs d'entre nous. Mais c'était selon moi tout à fait normal, puisque nous étions des créatures de l'enfer et eux provenait du ciel. Déjà, à partir de cet aspect, nous nous évitions et jugions cruellement.

Je croisai quelques Serdaigles ou encore Serpentards qui, en me voyant, pouffaient de rire; il faut dire que je m'étais créé une très "bonne" réputation avec mes talents de sorcier et avec mon uniforme qui était d'une crasteté sans pareil, tout le monde pouvait facilement deviner ce qui s'était passé. Je décidai de me rendre à mon dortoir pour me changer les idées ainsi que de vêtements. Toutefois, en arrivant devant le cadre qui arborait la si majestueuse femme obèse, je figeai. J'avais pour la 4e fois ce mois-ci oublié le foutu mot de passe pour rentrer dans le dortoir, et bien sûr aucun Gryffondor outre que moi n'avait été sorti de son cour. Je lâchai un jûron, ce qui fit réagir un peu trop éxagéremment les cadres qui m'entouraient. Je décidai de redescendre au rez-de-chaussé, trop excédé par ces derniers.

J'étais sur le point de descendre la dernière marche quand une odeur me fit tressaillir. Je stoppai tout mouvement, et pris une grande inspiration. C'était incroyable. Elle sentait si bon... je fus outré de savoir que je ne l'avais jamais senti avant aujourd'hui. Cette odeur était si bonne, si agréable. Je déposai ma main sur mon nez, j'allais la tuer si elle continurait à s'avancer dans ma direction. Et si, je tuais tout le monde autour pour ensuite la déguster elle. Je regardai autour de moi et ne vis que 3 élèves succeptibles d'être figurants dans la scène; ce serait tellement faciles. Mais, quelles seraient les répercutions de mon acte. Biens sûr je n'aurai pas d'autre choix que de quitter l'école, mais de toute façon celle-ci ne m'avantageait en rien. Toutefois, durant ces derniers mois, j'avais pu voir la capacité qu'avait ces sorciers, et ils seraient sûrement poussés à me poursuivre et à sans aucun doute me tuer... Je n'avais pas d'autres chois, je devais me contrôler, ou du moins, tenter.

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«Tout viens à point à qui sait attendre...»

Je me réveillais doucement ce matin. Je n'avais pas cours ce matin, je m'étais donc laisser la chance, l'unique chance de paresser au lit. Silver avait bien tenter de me réveillé, j'avais fait semblant de ne pas l'entendre...Affreuse comme j'étais, j'avais décidé de sauter le petit-déjeuner et de laisser ma petite Silver aller toute seule à la grande salle pour manger. J'étais vraiment une pure égoïste parfois, mais le besoin de dormir m'était indispensable. J'avais passé la nuit hier à essayer, je dis bien essayer, de comprendre mon devoir de Défense contre les froce du mal. Je détestais vraiment cette matière. Je n'étais pas tout de suite porté à me défendre à l'aide de sortilège, mais si je le devais je le ferais...Mais, tout de même! Parfois je trouvais le professeur un peu excessif...Il nous apprenait des sortilège niveau 4e année. Évidement, ma condition d'ange me permettait de les réussir, mais je ne le faisais pas. Le risque de me faire remarquer était trop grand. Alors, je faisais semblant de trouver cela tout aussi difficile que les autres, même si je pouvais très bien les réussir. Je ne voulais pas les réussir, je voulais apprendre des choses de mon niveau, je voulais faire les étapes une à la fois. La 4e année était pour dand 2 ans, alors je ne devais pas apprendre les choses avant le temps, j'aimais trop les surprise pour ça. Lorsque le soleil me fit fermer les yeux je décidais qu'il était temps de me lever. Et même si j'avais paresser, il n'était pas si tard, le premier cours de la journée n'était même pas encore passé et je ne commençais qu'en après-midi. Tant pis! je trouverais bien quelque chose pour m'amuser et me divertir en attendant. Je me levais et m'habillais. Je n'Étais pas obligé de mettre l'uniforme de l'École lorsque je n'avais pas cours, alors j'en profitais et rvêti une apire de jean moulant et une veste rouge sang. J'adorais cette couleur, elle faisait beau relief avec ma peau pâle et mes cheveux blonds comme les blés. Mes yeux, qui n'étais pas de la même couleur que les autres anges me donnait un air plus humain, plus différent pour mes compère anges. Mes yeux étaient bleus, bleus océans, très profond.

Je sortis de ma salle commune au sous-sol et décidais de visiter l'école, aller dans tous les recoins, je n'avais pas d'endroit précis où aller, simplement découvrir l'envirronement dans leuqle je vivais depuis 3 mois tout juste. Je montais les escaliers, me retrouvais dans la hall d'entré. Je regardais la grand salle vide et ne me préoccupais pas des conversation des autres anges, elles m'ennuyaient la plupart du temps. Ils ne parlaient que de la mission, celle de séparer les vampires et les sorciers...Je ne voulais pas me conformer à cette mission ridicule de mon point de vu. Les deux espèces cohabitaient très bien ensemble depuis plus de 50 ans, pourquoi venir déranger cette quiétude si durement acquise. Je savais que le «maître» conaissait mon opinion de la chose, mais il ne me le reprochait pas...J'avais toujours été habitué à faire savoir mon point de vue, il m'avait toujours dit qu'il aimait cet aspect de ma personnalité. Je tournais un peu en rond, cherchant les premiers escaliers. Je les vis face à la grande porte d'entrée. Toute souriante, je m'y dirrigeais sans savoir que quelques pas plus loin, quelqu'un me regardait la main sur le nez tentant de se retenir. Je ne le vis pas avant de complètement rentrer dedans. je pouvais devenir tellement lunatique parfois, j'avais baissé la tête perdue dans mes pensé, ne cherchant rien d'autre qu'à marcher à travers le château, pour décrouvrir les lieux...Je me heurtais de plein fouet à son corps dur comme le marbre. Je me retrouvais rapidement sur le sol, ma chevelure blonde, que j'avais laissé détâcher suivant le mouvement. Je relevais rapidement la tête, mes yeux blues croisant ses prunelles noires. Il était beau, je ne pouvais pas le cacher. J'avais vu plusieurs hommes beau dans ma vie, mais pas autant que lui. J'était peut-être un ange, les anges avaient leur limite eux aussi. Je me relevais, m'arrachant à l'envoutement que créait sur moi ses yeux.

Désolé...Je ne t'ai pas vu. je suis vraiment désolé!

Ma voix mélodieuse d'ange résonna dans le château. les élèves étaient en classe, alors les voix portaient plus lorsqu'il n'y avait prsque personne dans les couloirs...

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Désolée...Je ne t'ai pas vu. je suis vraiment désolée!

Pendant une fraction de seconde, son corps avait frôler le mien, pendant une fraction de seconde je ressentis le sentiment que, plusieurs années auparavant, j'avais recherché. Mes membres tremblaient éxagéremment, je devais trouver un moyen de me contrôler devant sa beauté si envoutante, ses cheveux d'une couleur se rapprochant de celle qu'on retrouve dans les blées, ces yeux si puissants, émotifs et d'une couleur.... Sans aucun doute, cette jeune Poutsouffle était un ange. Moi qui quelques secondes plus tôt en aurait tué un volontairement et avec un plaisir énorme, j'étais incapable de dire un seul mot. En constatant ma respiration si haletante je tentai de tout simplement cesser ce mouvement répititif, cesser de la sentir pendant un instant et me donner une minime chance de reprendre mes esprits... Je fermai mes yeux, mais je pouvais toujours voir son visage derière mes paupières.Tout en gardant ces dernières fermée, je réussis à prononcer quelques mots... ou plutôt quelques sons. Cette jeune fille me faisait vraiment perdre tous mes moyens.

Ce... n'.... pas grave.

Nos regards ne cessaient de se dévisager, comme si une admiration commune nous envahissait, nous submergeait. Elle était d'une beauté incomparable, tout à fait innimitable. Moi qui trouvait les anges si parfaits à un point exécrable, je fus obliger de me l'avouer : plus belle créature n'existait pas sur Terre. Il n'existait qu'elle en ce moment. Je ne percevais que son visage avec cette bouche si adorable que j'avais tant envie de caresser avec mes lèvres. Sa peau si fine, que je voulais à tout prix toucher, et sans aucun doute goûter. J'étais complètement déconcerté, ce qui me fit oublier que je devais retenir mon souffle; encore une fois, sa délicieuse odeur ateignit mes narines... Mais, cette fois-ci de manière encore plus percutante. Mes yeux devinrent rouges et ma main se leva vers elle. Je frolai délicatement ses cheveux qui tombaient délicatement sur ses fragiles épaules, mais me retint de les toucher complètement. Quand mon esprit protecteur, qui venait tout jsute de se réveiller, tenta de la protéger.

Tu.. ne devrais pas te promener seule.... On ne sait jamais ce qui pourrait arriver...

Incroyable, je venais de prononcer deux phrases, malgré avoir eu une difficulté étonnante à prononcer ces quelques mots correctement. Je tentai de m'écarter, mais elle se déplaca devant moi me bloquant ainsi le passage. Elle ne comprenait sûrement pas le danger que j'étais pour elle. Je froncai les sourcils, affichant un air désespéré ; je voulais rester avec elle, savoir qui elle était, comment elle avait vécu sa mort, mais je ne pouvais pas. J'en étais incapable, c'était impossible. Comment lui faire comprendre que je voulais à tout prix passer sans la blesser et sans avoir à la toucher- un autre contact entrainerait sûrement des dommages irréparables. Je placai ma main sur mon visage, pour ensuite la passer dans mes cheveux, mouvement que j'effectuais souvent lorsque j'éprouvais un grand stress. Quelle était le meilleure solution? Lui mentir, lui dire que je ne voulais pas la revoir, et la blesser... non, j'en étais incapable, je ne voulais pas être responsable de sa tristesse, qui aurait la force de blesser une créature si amplie de naïveté ? Je lui dis donc la vérité.

Écoute, je ne peux te parler; je t'en pris, pousse-toi.

Il y eu quelques secondes de réflection... il fallait qu'elle bouge, j'étais incapable de me retourner pour simplement remonter les marches, je ne pouvais détourner les yeux de son visage.

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«L'amour est comme la fièvre, il s'étend dans tout le corps sans que la volonté n'y puisse rien»

Pour une fois qu'une citation était tout à fait juste! J'avais marché la tête dans les nuages, et j'avais subi les bien faits qui venaient avec. J'étais rentré de plein fouet dans un gars qui allait descendre les escaliers, qui n'aurait jamais croisé ma route si je n'avais pas été aussi lunatique. Parfois, comme aujourd'hui, j'adorais mon côté rêveur qui s'évadait assé rapidement. Bon bref, ne nous écartons pas trop!!! Alors, comme je disais, je me retrouvais assé rapidement sur le sol. Non mais il devait vraiment être musclé un max pour que je me retrouve sur le sol près l'avoir frappé sans beaucoup de force. Je trouvais ça étonnant. Je ne m'étais pas relevé tout de suite, j'avas préféré le regarder. En fait, je n'avais pas été capable de m'en empêcher. J'avais tout de suite été attiré par ses yeux. Tellement envoutant! Ils étaient d'un noir foncés, et je pouvais voir dans le fond une fascination presque troublante. Non, en fait elle était troublante. Jamais personne ne m'avais regardé de cette façon, avec autant de fascination d'intérêt. Il me détaillait je le savais, je le sentais. Et puis, il le pouvait bien, je le détaillais aussi. Il avait un visage magnifique, sans aucun défaut. Ses lèvres minces et bien fournis me donnaient une envie irrépressible de lui voler un baiser.C'était une bizarre de sensation, mais je vivais avec pour le moment. Je descendais tranquillement, mais pas plus bas que la ceinture, fallait pas être malpolie! Je trouvais son torse très beau, il était un effet musclé, mais pas assez pour me renverser si facilement...C'est peut-être moi qui ne tenais pas pied de manière hyper géniale...J'entendis sa voix me murmurer des paroles presque incompréhensible.

Vraiment désolé! Je suis parfois très maladroite!

Je souris bêtement et me rendit soudain compte que j'étais encore assise sur le sol. Non mais quelle classe vraiment! Je rirais légèrement de moi-même et me relevais avec facilité grace et agilité. Je ne pouvais pas faire autrement, j'étais trop habitué! C'étais mon état d'ange qui me l'obligait. Je me retrouvais rapidement debout, face à lui. Je le dévisageais toujours avec autant de fascination. Qui était-il? Je savais qu'il n'était pas humain. Une aura dégageait de lui qui me persuadais qu'il était pas un simple sorcier. Il me regardait avec fascination, il me détaillait et nous n'avions aucunement besoin de paroles pour ce faire savoir que nous étions fascner l'un par l'autre. Il tendit doucement la main vers mes cheveux et les frôla doucement du bout de ses doigts. C'était souvent ce que les gars faisaient lorsque je me trouvais face à eux. Ils trouvaient ma beauté envoutante, alors ils étaient déjà attiré, mais mes cheveux achevaient de les fasciner et approchaient doucement leur mains pour toucher. Ces contacts ne me dérangeais pas, même lorsque j'étais morte les anges le faisaient... Mais, je ne sais pas comment l'expliquer, son contact à lui me faisait quelque chose. Il me chavirait complètement. Je savais exactement, ou enfin, presque, ce que cela signifait...Saphyr me l'avais détaillé plusieurs fois. On appelait ça tomber amoureuse.

*Wow! Shania! Tu es vraiment un petit génie!*

La voix de l'ange en question me fit reprendre conscience. Ils avaient tous tout entendu, ils savaient maintenant tous ce que je pensais, ce que je vivais. Je ne pouvais pas avoir la moindre intimité.

*Merci beucoup je suis touché!*

J'avais beau parler par la pensé aux autres anges, je ne détachais pas mes yeux de ceux de celui devant moi, mon expression ne changeait pas. J'entendais tout en même temps les lamentations des autres anges qui se plaignaient de m'entedre diavguer.

* Faudra vous y habituer mes amours*

Je me fermas complètement aux autre lamentations. Juste à temps pour l'entendre m'avertir de ne pas me promener toute seule dans les couloirs, que je devais être prudence. je souris, surprise.

Ouais...Je crois pas risquer grand chose dans les couloirs de Poudlard!

C'était bien vrai...Qui s'ttaquerait à une fille comme moi. Je n'avais l'air de rien, surtout pas d'un être surnaturel, d'un ange en locurence. Je voulais rester avec lui. je ne le conaissais pas vraiment, je venais de le rencontrer, mais j'avais déjà envie de le connaître mieux, de savoir un peu tout de sa vie. Je montais sur la première marche et frôlait sa main. Je sursotais quelque peut. Sa main était glacé, mais je n'en glissais mot. Merde!!! J'avais toujours eu le don de me mettre dans la merde! J'étais en train de tomber amoureuse, ouais, amoureuse d'un vampire. Cette peau glacé, cette beauté envoutante, même pour un ange et surtout, cette froce, son corps dur comme le marbre. En fait, où était le mal...Je ne savais pas! C'est sûr, si les autres anges l'apprenaient, je serais durement jugé pr ceux-ci. Par contre, il ne s'agissait pas d'eux. Je n'avais rien contre les vampires, je n'avais rien contre rien du tout. J'avais toujours répugné l'idée de les déranger, alors pourquoi ne pas me fondre avec l'un d'eux?

Je suis prête à prendre le risque! Je m'apelle Shania, Shania Cavanaught.

Il m'avait demandé de foutre le camp...Il me conaissait mal. J'étais une fille qui se défendait bien je gardais mes opinions et malheureusement pour le jeune et sexy vampire devant moi, je ne lachais pas facilement prise.

(HRPG: Ma petite Léane! Tu es pas censé savoir que les anges existent! Tu es pas censé savoir qu'il y a des anges sur la terre ou encore seulement qu l'on existe! Alors, faudra pu que tu parles d'ange dans tes post! Bisou)

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[HRPG: Ouppppppssss pardon! Je susi vraiment désolée, je ne savais pas que je n'étais pas supposé savoir que les anges existaient... Bref, je ne ferais pas d'edit puisque ce serait beaucoup trop long à refaire, mais je ne parlerai plus de toi en tant qu'ange, mais humain!]

Je suis prête à prendre le risque! Je m'apelle Shania; Shania Cavanaught.

Prendre le risque? Comme s'il elle savait ce que je pouvais lui faire! J'allais lui dire à quel point elle était têtue , elle devait sûrement remarqué à quel point je perdais mes moyens et que c'était dangereux pour elle de rester près de moi, quand soudain, elle commit l'irréparable : elle me toucha. Sa peau frola la mienne. Sa peau si chaude et douce sur la mienne... Un grognement se fit entendre en provenance de ma gorge, était-ce vraiment ce qu'elle voulait? Que... que je la tue...? J'étais tellement frustré qu'elle n'ait pas fait plus attention;
Elle était à la même hauteur que moi, aucun élève n'était succeptible de nous voir désormais, c'était si simple; la prendre contre mon torse, ou encore tout simplement prendre sa main et la mordre. Toutefois, en repensant à la facilité de cet acte, un point se ressera sur ma poitrine. J'étais ivre à l'idée de la boire, mais tout autant angoissé à l'idée de la perdre et de ne plus pouvoir la revoir. Tout un paradoxe déconcertant que vivait ma pauvre âme...
Je regardai une dernière fois autour de nous, pour m'assurer que personne ne pouvait nous voir. Nous n'étions plus que 2. Shania et moi. Un humain et un vampire assoiffé. Un vampire assoiffé qui n'était vraiment plus en mesure de se contrôler.Je décidai d'ignorer le point béant qui me troublait, pour prendre sa main. Sa délicieuse odeur imprégnait délicatement ma paume. Je la dirigeai faiblement près de ma bouche, et la soppa à quelques centimètres de mon visage. Je croisai son regard-qui ne semblait pas du tout effrayé, plutôt émerveillé- une dernière fois, avant de fermer mes yeux trop appeuré à l'idée de voir son visage souffrir durant les prochaines secondes. À l'instant même ou j'allais déposer mes lèvres sur sa main, je ne cessais de me répéter à quel point elle était idiote de se laisser contrôler par un garçon qu'elle venait de rencontrer. Quand, je compris que, le plus stupide des deux, c'était moi. Je profitais de sa naïveté. Si elle aurait été plus réticente, et qu'elle aurait continué son chemin sans me parler, je ne l'aurais pas suivie. Mais, puisqu'elle se tenait devant moi, maitenant, et bien je profitais du fait qu'elle croyait au "coup de foutre" pour la boire. Trop honteux, je rouvris mes yeux; retenant mes larmes -quelques choses que je n'avais pas vu depuis plus de 50 ans-, encore appeuré du fait que j'avais été sur le point de la tuer. Je déposai un baiser à peine perceptible sur sa main, et eus finalement la force de me retourner pour monter les escaliers.

Mais, ce n'était pas un peu précipité comme départ? Ce n'était pas très sensationnel de partir sans lui dire mon nom. Je me retournai, pour la DERNIÈRE fois, retins ma respiration, et l'interpellai.

Moi... C'est Max... Westerfield

Je tentai de lui sourire pour ne pas qu'elle constate ma nervosité.

Bonne journée...

Et je continueai mon chemin, essuyant mes yeux du revers de ma main. Je ne crois pas avoir eu conscience, à ce moment là, du contrôle que j'avais fait preuve. Ce fut plus que ce que je n'avais jamais imaginé... Et, c'est à ce moment-là, que je compris que ce que je voulais vraiment, c 'était de devenir végétarien, pour elle; pour éviter de lui faire du mal. Présentement, ma famille, mon clan n'étaient plus dans mes pensées; seulement elle les envahissait. Et je savais que je n'allais pas pouvoir me passer d'elle bien longtemps.

Invité

Il avait l'air légèrement surpris que je prenne le risque! C'était un vampire, rien de plus normal. Mais, j'aimais les risques plus que tout, j'aimais la perspective de pouvoir aimer une fois dans ma vie, aimer l'interdit me donnait encore plus de ferveur. C'était comme défier toutes les lois de la nature, se retrouver seule combattante du mauvais côté.J'aimais la perspective, elle m'enchantait.

Je restais là, à plongé mes yeux dans les siens. Lorsque ma peau avait frôler la sienne, lui avait réagit bizarrement, moi j'avais aimé la sensation, Sensation nouvelle de froideur asbolu. J'avais déjà étét aussi froide. Dans l'au-delà, nous étions tous froids, notre peau était tout aussi galcé, normale nous étions mort...Mais, lorsque le «maître» nous avait envoyé sur terre, dans cette école mystérieuse, j'avais retrouvé ma chaleur d'antant. Celle là même qui m'avait habité lorsque j'étais encore vivante, 10 ans au paravant. J'étais l'une des seules à se souvenir des années, parce que nous ne vieillissons pas. Nous sommes figé dans notre âge. Moi, dans mes 18 ans. Pour toujours. Bon, c'est sûr que je monte de grade année après année, mais je ne vieilli pas, c'est assé étrange d'ailleur...

Perdu encore une fois dans me pensé, je relevais la tête surprise lorsqu'un grognement s'échapa de la gorge du jeune homme devant moi. C'était assé étrange, mais fascinant à la fois. Il avait saisi ma main en un rien de temps. je savais qu'il avait une seule intention...Me mordre, mais il serait dé^cu le pauvre, je ne pouvais pas mourir deux fois, j'étais déjà morte!! Ah et puis merde!! Fallait pas qu'il le sache! Fallait pas qu'il sache que j'étais déjà morte! Parce que ma peau chaude t'émoignait bien que je n'étais pas vampire, alors il me poserait des question, me demanderait pourquoi! J'avais vraiment le don de me mettre en situation de problème! J'allais retirer rapidement et d'un cou sec ma main lorsqu'il ne fit que déposer doucement et frutivement ses lèvres sur ma paume avant de se retourner et de partir. Je restais là, surprise, regardant ma main avec stupéfaction. J'en voulais encore!!!

«Tu es vraiment pervesse ma pauvre!»

«Roh, mais c'est pas ma faute!»

Il ne me répondit pas. Je regardais toujours ma main avec autant de stupéfaction. J'avais adoré ce contact. Il me tira de mes réflexions lorsqu'il prononça son nom. Max...C'était un beau nom. Je réalisais à peine qu'il allait partir lorsque je me mis à monté les marches à sa suite.

Enchanté Max!

Pourquoi il partait aussi rapidement? Avait-il peur que je lui serve de repas? Alors là! Il ne le ferait pas, il avait eu l'occasion de le faire, mais avait résister. Il pourrait le faire encore des dizaines de fois. Je le lui aiderais!

Tu pourrais devenir végétarien...Rien ne t'y empêche!

Je le vis se stopper. Il était à quelques marches de moi, mais je décidais de ne pas plus avancer. Il me regardait avec cet air surpris. Il ne savait sûrement pas que je savais!